" C'est en regardant TURNER que l'envie me vint de peindre des cascades mais ma peinture étant trop douce, trop statique, elle peine à en traduire le dynamisme.
Ici, pas de reflets miroitants de l'eau calme de la Marne ou des étangs. La masse blanche court sur les rochers, cherche son passage en éclaboussant de mille facettes de part et d'autres la roche luisante et verte de mousse.
L'abstraction me semble alors plus indiquée pour en traduire le sentiment. "